✍️ Par la rédaction
La structure "Parlement debout", de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS/Tshisekedi) alerte sur un "danger" à la société LMC (Lignes Maritimes Congolaises).
Pour le Parlement debout, le danger est dû au fait que le Directeur Général de cette société, Jean-Claude Mukendi n'aime pas que d'autres personnes à l'exception de ses amis ne puissent travailler.
"Il a mis de côté les combattants de l'UDPS. Il a engagé plus de 300 personnes, seulement membres de sa famille et aucun combattant du parti." a déclaré Blaise Lumu, parlementaire debout de Mont Amba.
Toutefois, la structure membre de l'UDPS, appelle le DG Jean-Claude Mukendi à déposer sa démission, car selon elle, ce dernier règne en maître absolu et détourneur. Il a tout aussi détourné des fonds (3 millions de dollars) appartenant à cette société, raison pour laquelle la structure demande que l'IGF mène des enquêtes au sein de la société sur la gestion des fonds.
Pendant que les agents payés à la trésorerie sont impayés, le DG Jean-Claude MUKENDI MBIYAMUENZA se livre à des missions de service fantaisistes pour renflouer ses poches.
Du nombre des bévues du numéro 1 de LMC, figurent l'octroi des grades non-conformes à ses enfants et aux membres de sa famille, ne respectant pas les prescrits de la Convention Collective de l'entreprise, mais aussi, l'engagement des membres de sa famille n'ayant pas le niveau et sans être testés au préalable.
LMC déclaré entreprise en faillite, il y a deux ans, a été sauvé par la gestion managériale et orthodoxe de l'Honorable Cedrick Tshizainga Kapumba, éjecté sans cause connue.
Depuis son départ, les acquis du jeune DG sont sapés par une gestion tâtonnante de Jean-Claude MUKENDI MBIYAMUENZA qui se dit être intouchable parce qu'il est proche du Chef de l'État selon ses dires. Un trafic d'influence du gangster.
Il est temps que le ministère du portefeuille, la Primature, le CNS et la présidence trouvent une solution avant que LMC SA ne chavire.
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