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Kasaï : L'insalubrité à Tshïkapa, le journaliste Sadam Kapanda parle de l'absence totale de l'État



✍️ Par la rédaction



L'insalubrité est l'un des facteurs favorisant la propagation de plusieurs maladies à la population et elle pollue l'environnement y compris de l'air.

Dans la ville de Tshikapa, chef lieu de la province du Kasaï, avant tout comme après la tombée de la pluie, d'une avenue à une autre, les déchets sont visibles presque partout et tout ceci n'inquiète qui que ce soit, ni les autorités municipales ou provinciales voire, les sociétés civiles.


Sadam Kapanda wa Kapanda est journaliste reporter de legend-news.net dans la province du Kasaï à Tshikapa, parle de l'absence totale de l'État congolais dans cette partie du pays.


Dans son duplex réalisé après sa ronde dans la ville de Tshikapa, le journaliste Sadam Kapanda, note un résultat qui inquiète plus d'un citoyen conscient par le fait que même devant le gouvernorat de la province, les canaux sont pleins des déchets, mais on fait semblant.


Il reporte :

" Malgré le semblant de faire le salongo chaque samedi dans la ville de Tshikapa, rien ne laisse croire que les autorités politico-administratives de la province du Kasaï précisément dans la ville de Tshikapa sont à la hauteur de leurs tâches sur l'aspect de salubrité. Tous les canaux d'eaux sont pleins des déchets même sur les endroits publics, mais les autorités font semblant", a précisé le journaliste Sadam Kapanda.

À lui d'ajouter :


" Le salongo a Tshikapa n'est devenu qu'un marché pour les policiers et Agents contrôleurs qui passent devant chaque magasin ou n'importe quelle maison commerciale juste pour remplir leurs pauches. Malgré le mouvement animé par les nouveaux dirigeants de la commune de kanzala, au cœur même de la ville, le constat est toujours ambiguë" a-t-il martelé.

Les observateurs avertis jettent le dévolu sur le nouveau maire de ville qui cherche à s'habituer de son bureau climatisé oubliant les missions capitales de l'état pour lesquelles il a été désigné.


Dans la colline de Kele par exemple, les tireurs des vélos communément appelés" bayanda' ont créé un marché pirate dans la route à quelques mètres de l'ancien pont Kasaï. Le maire de ville de Tshikapa y passe jour et nuit pour aller à la mairie, mais ne dit mot.


Des sources concordantes lâchent que les autorités municipales des communes de Dibumba 1 et 2, Mabombo et Mbumba n'ont encore mis au clair leur plan d'action depuis leur remise et reprise avec l'équipe sortante.

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